La parallaxe est une différence de vision qui se crée lorsque l’on regarde depuis deux points de vue différents. Un point de vue unique fait courir le risque d’une appréciation partielle relevant du politiquement correct. En portant un regard différent, on peut alors percevoir des aspects cachés du monde. Regarder, écouter, et chercher un point de vue décalé peut parfois faire mieux comprendre le monde et le jeu des hommes.
31 mai 2011
Il a osé !
Un petit enfant syrien de 13 ans a été torturé à mort PENDANT UN MOIS. Ils lui ont arraché les ongles, ils l’ont brûlé, ils lui ont brisé les rotules, ils lui ont cassé les os, ils lui ont coupé le sexe ! Imaginez. Imagninez la terreur de l'enfant. Imaginez les hurlements de l’enfants. Et puis, tranquillement, ils ont rendu le corps à ses parents. L’enfant avait treize ans !! Qui a fait ça ? L’immonde dictateur syrien. Celui auprès duquel Kadhafi est un enfant de choeur. Kadhafi est un fou. Bachar al-Assad est une monstruosité. Un immonde personnage que l’occident hésite à combattre avec les seuls outils adéquats : les bombes ! Pendant combien de temps l’humanité va-t-elle supporter l’existence de tels criminels ? Pendant combien de temps la morale sera-t-elle foulée aux pieds de la real-politik ? La souffrance et la vie d’un enfant n’a-t-elle pas le prix suffisant de la révolte ? Jamais nous ne pourront effacer la honte d’avoir pu entretenir des relations avec un tel monstre ! Jamais l’humanité ne pourra effacer la tâche d’avoir pu, un seul instant, entretenir des relations avec un tel tyran sanguinaire. Voilà une vraie raison de s’indigner. Il s'appelait Hamza...
30 mai 2011
No future
Parlons clair : l’avenir est sombre ! Et la sécheresse installée ou la canicule à venir n’ont rien à y voir. Le pourtour méditerranéen est en effervescence, que se soit au Maghreb ou au Moyen-Orient où les islamistes sont à l’affût d’une prise de pouvoir, l’Europe est malade où le populisme fleurit sur les ruines d’une économie en crise. La Tunisie se débat dans une crise économique majeure qui pousse ses citoyens à émigrer au moment où le pays a besoin d’eux. La fureur et le sang ont pris le pouvoir en Libye, en Syrie, en Palestine. La dictature militaire perdure en Égypte. Le chaos terroriste s’est installé en Irak, au Pakistan et en Afghanistan. Une dictature féroce s’accroche en Iran. Le Yémen est à feu et à sang. Pendant ce temps, en Europe, la Grèce, l’Espagne, le Portugal, l’Irlande sont des pays où l’État a perdu le pouvoir pour le laisser au jugement des agences de notation et aux mains des organismes financiers mondiaux qui imposent aux peuples des contraintes qu’ils ne comprennent pas. Les États européens ont sauvé le système banquier et financier occidental, mais leur pusillanimité les a empêchés d’imposer aux banques les règles du jeu indispensables pour favoriser enfin l’investissement à long terme au lieu de la spéculation dévastatrice à court terme. Ils n’ont pas su interdire une spéculation qui a transformé les entreprises en bandits manchots. Les États sont soumis aux financiers et aux spéculateurs, ont peur des agences de notation et n’offrent aucune perspective, aucune alternative autre que cette soumission. Cette situation provoque un début de révolte des peuples, en Grèce et en Espagne où 45% des jeunes sont diplômés et au chômage. La faute originelle en revient à la génération des adultes d’aujourd’hui qui ont vécu à crédit pendant des décennies de façon irresponsables et sans se préoccuper des générations futures qui auraient à rembourser l’énorme dette accumulée dans tous les pays occidentaux et qui se trouveraient ainsi plongées dans un abîme sans fond. La société occidentale a protégé les possédants au détriment des exclus. Les syndicats ont défendu les salariés sans se préoccuper réellement des chômeurs. La société a perdu de vue les valeurs fondamentales comme le respect de la personne humaine, la solidarité et l’équité pour les remplacer par les concepts de productivité, d’efficacité, de performance qui sont des jugements d’évaluation menant à l’exclusion des plus faibles. Ainsi, les nantis d’hier ont finalement transmis la précarité à leurs enfants. Parce que leurs parents ont triché, les jeunes Grecques se révoltent. Parce que leurs parents ont spéculé dans la bulle immobilière, les jeunes Espagnols se révoltent. Les jeunes Français, accrochant leur wagon au wagon espagnol, en viennent à rêver à un nouveau Mai 68. En 68, les jeunes réclamaient une nouvelle liberté. Aujourd’hui, ils veulent simplement avoir un avenir alors que les politiques et les intellectuels n’ont aucune alternative à leur offrir. Quel jeune l’alternative Sarkozy/Aubry ou Sarkozy/Hollande peut faire rêver ? Les pancartes brandies sur la place de La bastille disent : « Le libéralisme, dégage ! ». Mais personne ne sait par quoi le remplacer. La situation est grave, mais rassurez-vous, le pire est à venir !
28 mai 2011
Politiquement correct
Nous assistons actuellement, à la suite de l’affaire DSK, à la mise au pilori d’un certain nombre de personnalités qui se sont permis d’utiliser des expressions jugées indignes au regard de critères qui deviennent de véritables contraintes pour la liberté d’expression. En effet, Robert Badinter, Bernard Henry Lévy, Jack Lang, Jean-François Kahn viennent d’en payer le prix pour s’être indignés de la mise à mort médiatique de DSK. Même Mladic, le boucher serbe, n'a pas eu droit à un tel traitement. « Il n’y a pas mort d’homme » et « le troussage de domestique » ont soulevé l’ire des bien-pensants à penchant féministe. Dès lors que la victime est une femme, il devient interdit de s’interroger sur le sort réservé au présumé innocent qui est devenu immédiatement un présumé coupable. Jack Lang ne voulait qu’exprimer son indignation devant le traitement médiatique de DSK, indiquant qu’un tel sort ne pouvait, à la rigueur, se justifier que pour un meurtrier. Quant à Jean-François Kahn dont on ne peut effacer d’un trait de plume tous ses combats pour les femmes, même ses excuses n’ont pas suffi à calmer les fureurs, poussant ce brillant talent journalistique à abandonner son métier. « Indignez-vous » a dit quelqu’un. Il est des indignations trop rapides qui deviennent des facilités. Peut-être que réfléchir avant de condamner est devenu, pour certain, un exercice trop difficile ! Le « politiquement correct » devient un étouffoir de l’expression, au même titre que le principe de précaution est un étouffoir de l’initiative. Bientôt, non seulement nous ne ferons plus rien, mais nous le ferons en silence … Nous n’aurons plus le choix qu’entre le silence de plomb ou la langue de plomb !
27 mai 2011
Une rencontre
Une jeune femme brune, cheveux longs, jupe longue et sandales, a croisé mon chemin ce matin, rue de Lagny à Paris dans le XXème arrondissement. Un bébé accroché sur son ventre, elle portait un gros sac en bandoulière et marchait d’un pas hésitant. En nous croisant, j’ai remarqué que l’enfant avait des tâches brunâtres sur les joues et que la femme soutenait sa tête avec la main. L’enfant était-il souffrant, malade ? Avançant dans la rue de Lagny, cette femme ayant soudain fait demi-tour, repasse devant moi et marche d’un pas rapide sur ses sandales à talons plats. Intrigué par son attitude, je me mets à la suivre sans très bien en comprendre la raison. Elle tourne dans le boulevard de Charonne, fait demi-tour au bout de quelques mètres et repart en direction de la place de la Nation. Je me mets à la suivre. Où va-t-elle ? Arrivée sur la place, elle se dirige vers le boulevard de Picpus dont elle emprunte les premiers cent mètres avant de changer de direction une fois encore et de partir vers la rue de Picpus. Elle marche d’un pas parfois décidé, parfois hésitant. Elle s’arrête de temps en temps pour boire à une bouteille qu’elle tire de son sac, tout en maintenant la tête de l’enfant. Je suis de plus en plus mal à l’aise devant sa conduite et sa façon de se déplacer, donnant l’impression qu’elle ne sait pas où aller. De la rue de Picpus, elle oblique soudain vers la place Daumesnil et rejoint le square de l’ancienne gare de Reuilly, près de l’avenue du même nom. Elle entre dans le square, hésite sur le chemin à prendre, regarde autour d’elle, traverse la pelouse et ressort du square sans s’être arrêtée. Je la suis toujours avec de plus en plus de mal. Elle s’engage dans la coulée verte en direction de la Bastille. Sur l’allée, elle fait plusieurs fois demi-tour, s’arrête et reprends sa route en direction de la Bastille, tenant toujours la tête de l’enfant. Elle me donne l’impression d’une femme errante qui ne sait où diriger ses pas. Est-elle en fuite ? A-t-elle enlevé l’enfant ? Je cherche en vain du regard un représentant de l’autorité publique à qui je pourrais faire part de mes interrogations et de mes inquiétudes pour l’enfant. Elle marche devant moi sur la coulée verte et accélère le pas. J’ai du mal à la suivre. Elle s’arrête un moment pour remplir une bouteille de l’eau d’une fontaine et repart de son pas à la fois hésitant et décidé. Au détour d’un coude, je la perds définitivement de vue. Je suis décidément mal à l’aise. Aurais-je dû l’aborder ? De retour chez moi, la pensée de cette femme, que j’ai crue en détresse, ne me quitte pas. Cette femme est-elle en fuite ou n’était-ce qu’une mère qui promenait son enfant ? L’interrogation ne me quitte pas. Combien de destins tragiques croisons-nous ainsi dans la vie, sans le savoir ? Combien de tristesses et de solitudes ? Combien de fuites et de désespérances ? Combien de tragédies derrière les portes et fenêtres ? L’espèce humaine est, à la fois, grégaire et solitaire. Nous sommes un oxymore vivant : un troupeau d’anachorètes.
18 mai 2011
Mise à mort
Nous venons d’assister, en direct de New-York, au type de justice que Nicolas Sarkozy veut instaurer en France en supprimant le juge d’instruction. Espérons que le scandale médiatique qui nous a été livré nous préserve à jamais de cette calamité. À quoi avons-nous, en effet, assisté ? Quelles que soient les charges qui pèsent sur DSK, celui-ci est présumé innocent jusqu’à preuve du contraire. Or, la sortie médiatiquement organisée par la justice américaine de DSK du commissariat de New-York est une mise à mort médiatique qui a transformé immédiatement le présumé innocent en présumé obligatoirement coupable. La présomption d’innocence a un sens très précis. Elle consiste à imposer au procureur, qui instruit uniquement à charge, d’apporter les preuves de la culpabilité avant de traiter un homme en présumé coupable. Dire que la justice américaine a la grandeur de traiter les puissants comme les plus démunis pour justifier ce à quoi nous avons assisté est une hypocrisie. Justement, la plaignante n’a pas été traitée de la même façon. De grandes précautions ont été prises par la police pour sauvegarder, à juste titre, son anonymat et la préserver des medias. En face, DSK est publiquement humilié et conduit menotté et sous l’œil des caméras dans la pire des prisons américaines avant même que quiconque n’ait entendu le moindre mot d’explication de ce dernier, sauf qu’il plaide une relation consentie. Quel sentiment a pu guider la juge américaine qui a refusé la mise en liberté sous caution avant le procès ? N’oublions pas que ces juges sont élus et qu’il est bon pour leur notoriété personnelle, d’accrocher à leur tableau de chasse un des hommes les plus important de la planète ! L’indignation de Bernard Henry-Lévy et de Robert Badinter est symptomatique du fait que la justice américaine n’est pas sans reproche. Espérons que notre pays soit préservé d’une telle justice. Une justice où l’inculpé ne peut avoir une défense sans beaucoup d’argent, une justice où le procureur n’est pas tenu de prendre en compte des indices d’innocence s’il en découvre au cours de son enquête. Tout cela étant dit, on ne peut cependant s’empêcher de penser que, si la culpabilité de DSK est prouvée un jour, la France sera passée à côté d’un véritable danger en portant à la charge suprême un personnage capable du pire.
16 mai 2011
Magnitude 9.0
Il s’agit d’un véritable séisme politique dont les ondes se propagent sur la planète entière. « L’affaire » DSK résonne comme un coup de tonnerre dans le monde. La position de premier plan que la crise financière mondiale a donnée au FMI a placé son président en position d’interlocuteur incontournable pour la majorité des chefs d’État. Mais le coup le plus dur est porté à la France. Coup dur pour l’image du pays dans le monde. Coup dur pour la société française qui avait espéré, dans sa majorité, trouver en DSK un successeur d’envergure à Nicolas Sarkozy. De deux choses l’une. Ou bien il s’agit d’une affaire scandaleuse montée de toutes pièces pour discréditer un personnage qui avait de nombreux adversaires, tant dans le milieu politique français où sa popularité portait ombrage et danger, que dans le monde où l’intervention du FMI s’accompagnait de plans de rigueur mal supportés par les populations et par les gouvernants. Car il y a, quand même, des faits troublants. Comment expliquer que, dans un grand hôtel de luxe habitué à recevoir des personnalités, on ait pu laisser une femme de chambre pénétrer dans une chambre sans s’assurer préalablement qu’elle était vide ? N’est-il pas curieux que cette femme pénètre dans la chambre au moment même où DSK est sous sa douche ? Comment comprendre qu’il ait téléphoné depuis l ‘aéroport à l’hôtel qu’il venait de quitter pour récupérer son téléphone portable après avoir déjeuné en ville, s’il était en fuite comme on le dit ? N’oublions pas le cas de Dominique Baudis. Ou alors les faits sont avérés et l’on a affaire à un grand malade. Car, comment expliquer que cet homme n’ait pas eu conscience des conséquences extraordinairement graves que ses actes allaient entraîner ? Comment penser qu’il ait pu croire un instant que son agression resterait cachée et que la jeune femme agressée garderait le silence ? Comment comprendre que cet homme n’ait pas eu conscience qu’il ruinait à jamais sa carrière ? L’avenir nous dira ce qu’il en est. Ce qui est absolument certain est que DSK n’a plus d’avenir politique. Sa candidature aux élections présidentielles françaises est devenue impossible, non seulement à cause du calendrier des primaires socialistes, mais surtout parce que la fonction présidentielle ne s’accommode pas d’un homme ayant été menotté par la police, même s’il s’agit d’une erreur. Ce qui est certain également, c’est que la France n’a plus de candidat à la hauteur de la fonction.
07 mai 2011
Quelle bêtise !
Un assassin est mort, tué dans une opération dont le seul but était bien de l’éliminer. Le 11 Septembre 2001, Ben Laden a tenté de faire disparaître 50.000 personnes dans l’effondrement des tours jumelles du World Trade Center. S’il n’y a eu « que » 3000 morts, cela tient du miracle. Ben Laden a bel et bien tenté de supprimer l’équivalent d’une ville moyenne ! Qui peut aujourd’hui oublier ce fait et regretter la disparition de ce monstre ? A priori personne … et pourtant voilà qu’une vague de rumeurs enfle de façon inquiétante, mais guère surprenante lorsqu’on connaît la nature humaine ! On déplore le fait que Ben Laden ne fut pas armé au moment de l’assaut, on déplore que son corps ait été jeté à l’eau, on ratiocine sur le nom de Geronimo donné à l’opération d’élimination. Et, bien entendu, la théorie du complot retrouve une nouvelle vigueur en diffusant l’idée qu’en réalité, l’homme n’est pas mort. Que les démocrates se réjouissent plutôt du fait qu’il vient d’être démontré que les démocraties ne sont pas condamnées à subir sans se défendre ! Cela compensera le silence, assourdissant, et habituel, des responsables musulmans dès qu’il s’agit de terrorisme.
02 mai 2011
Il est mort … enfin !
Les États-Unis viennent d’économiser 25 millions de dollars. C’était la prime promise à celui qui permettrait de supprimer Oussama Ben Laden. Voilà que l’individu, responsable des 3000 morts des attentats du 11 Septembre 2001, vient d’être tué par l’armée américaine, après 8 mois d’enquête. Le monde est soudainement plus propre ! Décidément, la grande lessive continue : Ben Ali, Moubarak, Gbagbo, Ben Laden, autant de tâches enlevées ! Il en reste encore, malheureusement, et le monde civilisé espère la disparition de Kadhafi et de Bachar Al Assad, entre autres dictateurs ou potentats africains, orientaux et sud-américain, ainsi que des terroristes comme Abou Zeid et Mokhtar Belmokhtar. Le travail n’est pas fini et durera encore longtemps. Des représailles vont certainement avoir lieu après la disparition de Ben Laden, les attentats et enlèvements d’otages risquant de se multiplier. Malgré les risques, il faut se réjouir de la disparition de ces criminels et éviter, espérons-le, toute polémique stérile et indécente.
Une comptine
Vous connaissez la comptine : La peinture à l’huile, c’est bien difficile, mais c’est bien plus beau que la peinture à l’eau. En voilà une autre : Être un actionnaire prédateur et spéculateur, c’est tellement facile, mais c’est bien plus profitable que d’être un actionnaire responsable. L’obligation faite aux entreprises de verser aux actionnaires et aux fonds spéculatifs des dividendes annuels hors de toute raison plonge dans la tourmente l’économie d’un pays. Exiger des rendements d’investissements à deux chiffres relève du crime contre l’économie… et, donc, contre le peuple. Plus de dividendes, c’est moins de salaires et moins d’investissements dans la productivité, la R&D, l’innovation. La spéculation excessive, telle qu’elle se pratique aujourd’hui, est le cancer des nations, au même titre que la mafia ou que le terrorisme. Elle corrompt la morale et fait naître des pratiques frauduleuses qui ont conduit aux subprimes, à la faillite des Caisses d’Épargne américaines, aux produits financiers toxiques (tout cela pour le plus grand bénéfice de Goldman Sachs), aux escroqueries « Madoffiennes », aux salaires indécents des chefs des grandes entreprises. Elle pousse les entreprises aux délocalisations prédatrices et aux licenciements spéculatifs et boursiers. La délocalisation supprime des emplois en France, la sous-traitance délocalisée alourdit la part négative de la balance des paiements. Elle incite les entreprises à délocaliser leur siège social ou à manipuler leurs comptes entre leurs implantations internationales pour éviter de payer des impôts en France, ce qui leur permet d’augmenter leurs bénéfices et les dividendes à verser. Rien n’est à l’abri de l’immoralité de la spéculation. Elle provoque, en jouant sur le prix des denrées alimentaires, des émeutes de la faim dans les pays les plus pauvres de la planète. Elle incite les mêmes pays à développer le travail des enfants, main d’œuvre si bon marché qu’elle attire les producteurs des pays riches à la recherche d’une rentabilité maximale du travail afin d’augmenter, encore et encore, la part des dividendes. La communauté internationale (au fait, qu’est-ce que c’est ?) condamne l’utilisation d’armes à destruction massive. Elle devrait donc condamner la spéculation financière pour cette même raison. Que l’économie redevienne une économie politique et que la démocratie politique redevienne citoyenne !
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