
La parallaxe est une différence de vision qui se crée lorsque l’on regarde depuis deux points de vue différents. Un point de vue unique fait courir le risque d’une appréciation partielle relevant du politiquement correct. En portant un regard différent, on peut alors percevoir des aspects cachés du monde. Regarder, écouter, et chercher un point de vue décalé peut parfois faire mieux comprendre le monde et le jeu des hommes.
27 juillet 2010
À quoi sert la Bourse ?

25 juillet 2010
Paradoxes

17 juillet 2010
Utopie ?

15 juillet 2010
Le plus beau tableau du monde

C’est le plus beau tableau du monde.
13 juillet 2010
Mouvement perpétuel

Les banques ayant aussi un rôle majeur dans les transactions commerciales et économiques normales (ce pour quoi elles ont été créées), les États ont été dans l’obligation d’empêcher leur faillite. Les contribuables les ont donc renflouées au détriment de la dette nationale et, donc, du niveau de vie de leurs enfants. Comme des pompiers pyromanes, les agences de notation ont alors montré du doigt les états endettés (la Grèce pour commencer, puis le Portugal et l’Espagne).
Ayant été renflouées, les banques ont aussitôt recommencé à spéculer mais, cette fois, contre les États en difficulté financière et, toujours, avec la complicité des agences de notation moutonnières qui condamnent sans vergogne et avec précipitation. C’est-à-dire que les banques spéculent contre ceux-là même qui les ont sauvées. Les agences de notation dégradent la Grèce, le Portugal, l’Espagne, qui, obligés d’emprunter auprès des banques, voient immédiatement les taux d’intérêt demandés par celles-ci s’envoler, ce qui met les pays endettés dans l’impossibilité d’emprunter et donc de rembourser. Les pays de la zone euro n’ayant pas encore été dégradés par les agences de notation, ils empruntent auprès des banques pour pouvoir prêter eux-mêmes aux pays en difficulté.
Les banques gagnent encore. Les organismes financiers ont inventé le mouvement perpétuel !
12 juillet 2010
A-t-on besoin de Mediapart ?

09 juillet 2010
MMS

06 juillet 2010
Tous pourris !

04 juillet 2010
Faillite ?

02 juillet 2010
Pouvoir et contre-pouvoir

29 juin 2010
L’affaire Ecric Woerth

22 juin 2010
Spleen

Le journal Libération a organisé une réunion mondaine à Grenoble, appelée États généraux du renouveau, avec des sommités intellectuelles pour déterminer les attentes de la société française d’aujourd’hui. Belle et grande idée ! L’institut Médiascopie a choisi un échantillon de 300 personnes, qu’il a qualifié de représentatif ce qui, sur le plan statistique, paraît déjà douteux. Ces personnes ont été « coachées » et interrogées pendant une semaine pour leur faire exprimer leur vision de la société présente et celle de la société souhaitée. Il en ressort que les finalités les plus attendues sont, quelle surprise ! une société « du bien-être » ! Tiens, tiens … il me semble que j’ai déjà entendu ce concept, il n’y a pas longtemps au sein de discours politiques. Une telle société est jugée importante et positive. Le contraire eut été étonnant. Une société du mal-être aurait-elle quelques chances de séduire ? On se demande à quoi peut bien servir une telle étude pour déboucher sur de telles évidences. La protection et le progrès social, la réduction des inégalités et l’amélioration des services publics accompagnent cette société du bien-être. Je ne crois pas que cela va bouleverser l’idée que l’on pouvait se faire des attentes des Français. Par contre, on découvre dans les résultats de cette étude que les partis politiques et les syndicats, toutes tendances confondues, sont jugés plutôt négativement. Ainsi, si l’on veut résumer cette magistrale étude, on peut dire que les Français sont des adeptes du « tous pourris » et de l’État protecteur (le non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux est jugé comme ayant un impact important et négatif, au même titre que la perte des acquis sociaux !). On a beaucoup de mal à distinguer ce qu’il y a de nouveau !
Les villages du Var ont été dévastés à cause de la furie de la nature mais aussi de l’inconscience humaine. Les habitants sont sonnés, dépouillés, en perdition. Et voilà qu’une horde de touristes abominables et voyeuristes, appareils photo en bandouillère, viennent respirer l’odeur du désespoir et de la dévastation. Le malheur des uns a toujours fait le bonheur des autres.
Le parti socialiste s’est rangé derrière son coupeur de tête, Monsieur Montebourg. Ce dernier a oublié le sort de Robespierre !
Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai tout d’un coup un sentiment de spleen.
12 juin 2010
Démiurge

11 juin 2010
La résurrection, une calembredaine

08 juin 2010
Ils nous trompent

01 juin 2010
Soupçons

30 mai 2010
Un livre salutaire

17 mai 2010
Qui croire ?

15 mai 2010
Des topinambours dans nos assiettes !

13 mai 2010
Poker menteur

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